Nom du livre:Un palais de cendres et de ruines
Nom de la collection:Un palais d'épines et de roses
Auteure:Sarah J. Maas
Éditions:La Martinière
Pages:736
Date de sortie:5 février 2020
Prix:42,95 $(en papier)26,99$(électronique)
Âges:16 ans +
Synopsis
Devenue Grande Dame de la Cour de la Nuit, Feyre a offert son coeur à Rhysand.
Après la trahison de Tamlin, pourtant, la jeune femme n'a eu d'autre choix que de suivre celui-ci à la Cour du Printemps, qu'elle considérait autrefois comme sa maison.Mais Feyre n'a qu'une idée en tête : découvrir ce que manigance Tamlin, qui s'est rangé aux côtés du roi d'Hybern, et rentrer au plus vite à la Cour de la Nuit.
Car la guerre contre Hybern est imminente, et Feyre et Rhysand doivent à tout prix rallier les Grands Seigneurs à leur cause...
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Ce roman, c'est une bataille pour un monde meilleur, un cri de désespoir pour un avenir meilleur, un hymne à l'amour et aux sacrifices et à tous ceux qui n'ont pas de voix.
Il frappe et laisse des stigmates sur son passage. C'est un jeu, une guerre dont tout le monde est perdant et risque gros. Nouvellement Dame de la nuit, Feyre s'infiltre dans la cour de son ex-amant, Tamlin, dans le but de créer la zizanie. Seule, elle affronte ses adversaires et quand une guerre s'annonce, elle revient dans sa cour, prête.
Rhysand et sa famille tente l'impossible jusqu'à mettre fin à leurs jours pour y parvenir. Sarah J. Maas offre le sang et l'amour sur des notes sombres, sensuel enrobé de promesse d'infinis. Ce récit est une pépite avec sa trame, ses décors, ses combats qui nous enlève la voix pour nous laisser que des émotions de tourmentes et de souffle haletant.
C'est le type de bouquin qui marque avec ses moments aussi doux et fort que triste et amer, c'est le type de bouquin qui projette des beautés et des atrocités, des brindilles de cruauté humaines et des Grands seigneurs. Mes mots se perdent et résonnent à travers Rhysand et Feyre tandis que mon coeur reste accroché à leur amour. C'est le sentiment que l'auteure nous lègue à la fermeture de cette brique.
Wow, je suis subjuguée.
Il la déposa doucement sur le tapis de l'entrée après l'avoir portée pour lui faire franchir le seuil.
Elain scruta son visage patient et solennel. Il lui adressa un léger sourire.
- Voudriez-vous que je vous montre le jardin ? demanda-t-il.
Elle paraissait si petite face à lui, si fragile devant sa cuirasse, la largeur de ses épaules et les ailes qui dépassaient d'elles...
Mais elle ne paraissait ni effrayée ni intimidée. Elle acquiesça.
Avec la grâce d'un courtisan, il lui offrit son bras. Elle le regarda plus attentivement, et j'ignorais si c'était son siphon bleu ou ses cicatrices qu'elle venait de remarquer.
- Magnifique, murmura-t-elle.
Une rougeur colora les joues hâlées d'Azriel. Il inclina la tête pour la remercier et l'entraîna vers les portes du jardin dans la lumière dorée du soleil.
Souviens-toi que tu es une louve et que personne ne peut te mettre en cage.
Il frappe et laisse des stigmates sur son passage. C'est un jeu, une guerre dont tout le monde est perdant et risque gros. Nouvellement Dame de la nuit, Feyre s'infiltre dans la cour de son ex-amant, Tamlin, dans le but de créer la zizanie. Seule, elle affronte ses adversaires et quand une guerre s'annonce, elle revient dans sa cour, prête.
Rhysand et sa famille tente l'impossible jusqu'à mettre fin à leurs jours pour y parvenir. Sarah J. Maas offre le sang et l'amour sur des notes sombres, sensuel enrobé de promesse d'infinis. Ce récit est une pépite avec sa trame, ses décors, ses combats qui nous enlève la voix pour nous laisser que des émotions de tourmentes et de souffle haletant.
C'est le type de bouquin qui marque avec ses moments aussi doux et fort que triste et amer, c'est le type de bouquin qui projette des beautés et des atrocités, des brindilles de cruauté humaines et des Grands seigneurs. Mes mots se perdent et résonnent à travers Rhysand et Feyre tandis que mon coeur reste accroché à leur amour. C'est le sentiment que l'auteure nous lègue à la fermeture de cette brique.
Wow, je suis subjuguée.
Un troisième tome plus-que-parfait qui aborde le pardon mieux que quiconque.
Coup de foudre !
6/5
Extraits :
Azriel arriva en premier. Ma sœur était comme une masse pâle et dorée dans ses bras. Il portait sa cuirasse illyrienne et les cheveux bruns doré d'Elain s'étaient pris dans quelques-unes des écailles de sa poitrine et de ses épaules.Il la déposa doucement sur le tapis de l'entrée après l'avoir portée pour lui faire franchir le seuil.
Elain scruta son visage patient et solennel. Il lui adressa un léger sourire.
- Voudriez-vous que je vous montre le jardin ? demanda-t-il.
Elle paraissait si petite face à lui, si fragile devant sa cuirasse, la largeur de ses épaules et les ailes qui dépassaient d'elles...
Mais elle ne paraissait ni effrayée ni intimidée. Elle acquiesça.
Avec la grâce d'un courtisan, il lui offrit son bras. Elle le regarda plus attentivement, et j'ignorais si c'était son siphon bleu ou ses cicatrices qu'elle venait de remarquer.
- Magnifique, murmura-t-elle.
Une rougeur colora les joues hâlées d'Azriel. Il inclina la tête pour la remercier et l'entraîna vers les portes du jardin dans la lumière dorée du soleil.
Souviens-toi que tu es une louve et que personne ne peut te mettre en cage.
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Sabrina
