Nom du livre:Un palais de glace et de lumière
Nom de la collection:Un palais d'épines et de roses
Auteure:Sarah J. Maas
Éditions:La Martinière
Pages:336
Date de sortie:8 novembre 2019
Prix:29,95 $(en papier)16,99$(électronique)
Âges:16 ans +
Synopsis
Depuis la fin de la guerre qui a ébranlé Prythian, Feyre, Rhysand et leurs fidèles amis s'attachent à reconstruire la Cour de la Nuit.
Mais si le solstice d'hiver apporte une période de repos bien mérité, il semble que l'atmosphère festive ne parvienne pas à chasser les fantômes du passé…
Alors que le cœur de Feyre guérit peu à peu, ses sœurs et ses amis dissimulent des blessures encore profondes.
Et si le temps des batailles est bien révolu, les tensions perdurent et menacent une paix encore fragile.
Les cicatrices et les rancunes accumulées jadis auront-elles raison du fragile équilibre de ce nouveau monde ?
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Après la guerre du tome précédent, Sarah J. Maas offre un repos et surtout une petite douceur qui fait du bien au coeur. À la suite de la guerre qui a secoué Prythian en entier;
Rhysand et ses amis tentent de reconstruire leur Cour pendant qu'ils préparent le solstice de l'hiver. À travers des décisions et des rêves, l'espoir s'infiltre pour chasser les fantômes du passé et du présent. Certes, court, ce roman est un bonus sensuel et frappant, d'autant plus que plusieurs points de vue nous sommes offerts et attisons notre curiosité mieux que quiconque. L'ambiance est magnifique, le décor est unique, sans oublier la magie qui se répand dans tous les mots et pages qui défilent à vive allure. Mon amour pour cette saga s'intensifie, voire plus que mes sentiments envers Azriel. Ce roman apporte son lot de sourire, et étrangement, de larmes.
Un excellent récit qui fait patienter les lecteurs jusqu'au prochain.
Une trame de cauchemars et de rêves à travers les étoiles et les ombres.
Coup de coeur !
5.5/5
Extraits :
Je t'aime, souffla-t-il. Plus que la vie, plus que mes terres, plus que ma couronne.
- Si ça peut te consoler, cousine, je me suis conduit comme un beau salaud l'autre jour.
- Il est mort ?
- Non.
- Alors je dirai que tu t'es très bien maîtrisé.
Je ris.
- Tu es vraiment impitoyable, Mor.
Elle haussa les épaules, les yeux fixés sur le fleuve.
- Il le mérite, répondit-elle.
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