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vendredi 23 mars 2018

L.O.L- Chips aux cornichons

Nom du livre:L.O.L- Chips aux cornichons
Nom de la collection:L.O.L
Auteure:Marilou Addison
Éditions:Boomerang
Pages:416
Date de sortie:6 novembre 2017
Prix:16,95 $(en papier)12,99$(électronique)
Âges:13 ans +

Synopsie

Il n’y a pas à dire, à la polyvalente Louis-Olivier-Leduc, les jeunes n’ont pas souvent de répit ! L’automne arrive à grands pas, et avec lui, la fameuse élection scolaire. Il est d’ailleurs plus que
temps d’élire des présidents de classe. Qui décidera de se présenter et qui récoltera le plus de votes ? Oh, mais ce n’est pas tout, car la campagne électorale aura lieu en même temps que la campagne de financement. Et qu’il y a eu une légère erreur, lors de la commande de chocolat…
À la place, les élèves devront vendre… DES CHIPS AU CORNICHON !
Attache ta tuque et choisis bien ta saveur de chips, car encore une fois, rien ne se déroulera normalement, pour les deux Fred !

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Les deux Fred m'ont totalement manqué. je suis accro à leur aventure rocambolesque, un peu comme Éloi, nous en avons jamais assez. C'est toujours autant léger et rigolo comme tout. Après leur première journée à L.O.L et le rallye, les deux Fred s'apprête à vivre une campagne de financement et électoral haut en couleur. Entre les chips à l'odeur désagréable, le discours oublié et les idées farfelus, Frédéric tente de remportent les élections avec l'aide la souris, en dépit des événements imprévus. Comment rendre un moment du quotidien en une véritable catastrophe ? Demandez à ses deux amis, ils sont professionnels dans le domaine. Marilou Addison nous offre un troisième tome unique à son genre, avec de l'humour pour tous les âges et un récit addictif. Je suis amoureuse de la plume, de la couverture et du concept, ainsi que la relation amour/amitié qui unit la souris et le géant. C'est mignon comme un premier amour et tendre comme des brownies sortis du four. Bref, l'auteure dépasse largement nos attentes avec une nouvelle intrigue captivante et parfaitement abordée. Qui, sans le vouloir, nous rappelle étrangement notre jolie Dylane.

Des élections jeunesses qui se transforment rapidement en cata ambulante.
Coup de coeur !

5/5


Extraits :
Je me suis tournée vers le murs et il s'est levé, avant de disparaître dans le couloir. Quand il est revenu, quelques instants plus tard, il portait au moins une paire de jeans, mais toujours pas de chandail. Je dois bien le dire, ça m'a mise hyper mal à l'aise, alors tout en lui parlant, je regardais partout, sauf dans sa direction. Ce qu'il a bien fini par remarquer, car il m'a demandé : 

Le géant : Dis... il y a un problème ? Je suis ici, tu sais. Pourquoi tu regardes constamment le mur.
Moi (les joues rouges) : Je ne regarde pas le mur du tout ! C'est... c'est la lumière de ta chambre qui est trop vive. Ça me fait mal aux yeux.
Le géant (perplexe) : La lumière. Mais... laquelle ?  Je ne l'ai même pas ouverte !
Moi (en pointant la minuscule fenêtre) : Celle de dehors ! Il fait vraiment soleil, aujourd'hui ! Bon, tu viens, il faut se dépêcher de choisir ce que tu vas porter, avant d'aller à l'école. On n'a pas toute la journée !
Le géant (en me regardant fouiller dans sa penderie) : Il est genre six heures du matin, la souris. Je pourrais même me recoucher, si je voulais, et faire une sieste, tellement on est en avance.


J'ai donc rebroussé chemin, mais avant d'avoir pu revenir au vestiaire, j'ai entendu des voix. Des voix qui se dirigeaient justement vers la porte du vestiaire. Je ne pouvais pas y retourner.
Tsé, parfois, on se demande ce que ça fait, la peur, dans notre corps ? Eh bien, je peux te le dire, moi ! Ça rend les jambes molles. Ça assèche la bouche. Ça nous donne la chair de poule et malheureusement, ça peut aussi nous faire figer sur place...
C'est exactement ce qui s'est passé, dans mon cas. Je n'ai pas pu bouger durant au moins... dix secondes, je te dirais. Et dix secondes, c'est ultra long quand quelqu'un approche,
Ouin... ils m'ont vu. Qui ça ? Ben... monsieur Christopher, le coach de football, et un homme que je ne connaissais pas, mais qui se tenait à ses côtés. Eux aussi, ils ont figé, quand ils m'ont aperçu. Une seconde ou deux. Je n'ai pas compté, évidemment.
Ils ont cessé de parler. Il y a eu un silence. Très long. Avec un malaise tout aussi long. Je crois, mais je n'en suis pas certain, que dans une certaine mesure, ils avaient un peu honte pour moi.


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