La princesse de Clèves

 

Nom du livre:La Princesse de Clèves

Nom de la collection:...

Auteure:Madame de Lafeyette

Éditions:Hugo&cie

Pages:256

Date de sortie:18 mai 2020

Prix:5,95 $(en papier)4,99$(électronique)

Âges:14 ans +

Synopsis

En 1558, Mlle de Chartres fait une entrée très remarquée à la cour du roi Henri II. Sa grâce et sa vertu ravissent le coeur du prince de Clèves, qui demande sa main. Un trio tragique : le duc de Nemours est épris de la Princesse de Clèves, qui l’aime en retour, mais est adorée de son époux… Par refus de s’abandonner à une passion coupable, la princesse commet l’irréparable : elle avoue tout au prince, son mari. Et c’est de cet aveu central que dépend l’issue du drame. Celui-ci meurt de chagrin. Désormais libre, la princesse se trouve face à un dilemme tragique : vivre une passion qu'elle considère comme une trahison ou bien y renoncer pour honorer la mémoire de son époux...

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Ce classique est une leçon de vue et de pardon, << La princesse de Clèves >> est un chef-d'oeuvre de la littérature avec une histoire d'amour qui ne semble pas aboutir au-delà des obstacles. Mademoiselle de Chartres, âgée de quinze ans, débarque à la cour d'Henri. Le prince de Clèves tombe directement sur le charme de cette charmante inconnue. Désormais son épouse, malgré des sentiments non partagés, elle vit une vie au côté de ce se convoiter. Jusqu'à l'arrivée du Duc de Nemours, dont la passion vient se mêler aux émotions contradictoires qui les habitent. Je suis sans voix devant ce récit d'une force sombre et extraordinairement bien écrit dans un univers magnifique et purement vrai. Et il mérite d'être lu par tous pour l'importance qu'il accorder à travers des mots qui dévoilent du respect, proche du féminisme et dont les erreurs ont parfois un prix désastreux.
Un classique touchant sur les vérités, qui ne tire ni sur le rose, le gris ou le noir, mais seulement la normalité.

Un grand talent dévoilé entre les lignes de ce bouquin.

J'ai bien aimé !

3.5/5

Extraits :

Je ne vous le demande point comme mari, mais comme un homme dont vous faites tout le bonheur et qui a pour vous une passion plus tendre et plus violente que celui que votre coeur préfère.

La douleur de cette princesse passait les bornes de la raison. Ce mari mourant, et mourant à cause d'elle et avec tant de tendresse pour elle, ne lui sortait point de l'esprit.

Sabrina