Un jour plus que parfait

Nom du livre:Un jour plus que parfait

Nom de la collection:...

Auteure:Krystal Sutherland

Éditions:Pocket Jeunesse

Pages:368

Date de sortie:22 mai 2019

Prix:34,95 $(en papier)23,99$(électronique)

Âges:14 ans +

Synopsis

La famille d’Esther Solar est maudite.

Tous souffrent d’une phobie atroce

qui les mènera tout droit dans la tombe.

• Le père d’Esther, agoraphobe, vit reclus dans la cave

depuis six ans.

• Son frère a peur du noir.

• Sa mère est terriblement superstitieuse.

Esther, elle, ne souffre (pour le moment) d’aucune terreur particulière. Mais tient à jour la liste non-exhaustive de ses pires cauchemars, au cas où. Lorsqu’elle croise à l’arrêt de bus le mystérieux Jonah Smallwood, sa vie bien rangée bascule… Esther va être confrontée à la plus imprévisible et la plus redoutable de toutes les peurs… l’amour.

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Merci à Martine et à Interforum Éditis Canada pour votre confiance

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Dès les premières pages, j'ai su que ce roman ne me ferait pas battre mon coeur, ni vibrer mon âme. Au contraire, ce récit m'a mise mal à l'aise, m'a ébranlé négativement et les sujets m'ont probablement refroidi en quelque sorte. Esther à une famille unique, une mère superstitieuse, un frère achluophobique et un père enfermé dans une cave depuis déjà six ans. Mais pour l'instant, l'adolescente ne fait que se préparer pour sa future phobie. Phobie qui porte l'étrange nom de Jonah. J'avais beaucoup aimé << nos cœurs en désaccord >> de la même auteure, malheureusement, cette romance m'a laissé une sensation amère et m'a laissé de marbre. Le résumé me plaisait pour son originalité ainsi que ses thèmes, or, adapter la mort dans un YA supposément drôle m'ont forcé à mettre un terme à une lecture plausiblement sombre. L'Abordement de certains passages m'a mise dans une transe mélancolique et grise.
Un roman que je ne conseille pas aux gens anxieux et stressé, pour ne pas passer un instant désagréable.

Un YA un peu bizarre qui ne m'a pas bouleversé comme je l'espérais

J'ai abandonné !

1/5

Extraits :

Esther se remémora aussitôt la scène : elle avait huit ans, un couple au bol orange vif, et tenait un panneau qui disait << SAUVEZ LES SORCIERS >>. Au journal télévisé de dix-huit heure, on avait vu un journaliste agenouillé près d'elle qui lui demandait : << Sais-tu que le livre est sorti il y a des années et qu'on ne peut pas changer la fin ? Stupéfaite, elle avait bêtement cligné des yeux devant la caméra.
Triste moment de gloire...


Arrivée au lycée, elle se rendit directement à son casier pour y déposer ses gâteaux et ne pas traîner derrière elle des effluves vanillés toute la journée.
- Sale petit sournois, marmonna-t-elle en l'ouvrant.

Là, tout seul au milieu de son casier pourtant fermé avec un cadenas, se trouvait un Roll-Up goût framboise.

Ce livre est un service de presse:

Sabrina