Mes critiques

lundi 3 décembre 2018

1 week-end sur 2- Prête pas prête, j'y vais !

Nom du livre:1 week-end sur 2- Prête pas prête, j'y vais !
Nom de la collection:1 week-end sur 2
Auteure:Geneviève Cloutier
Éditions:Les éditions de Mortagne
Pages:368
Date de sortie:3 octobre 2018
Prix:24,95 $(en papier)18,99$(électronique)
Âges:16 ans +

Synopsie

Mon été olé olé avec William, mon jeune voisin, a malheureusement pris fin. 

Et lui dire au revoir a été plus difficile que je ne l’aurais imaginé. Puis j’ai reçu comme un électrochoc la déclaration ô combien surprenante de Christian, mon ennemi des vingt dernières années… dont le plus grand défaut est d’être le meilleur ami de mon ex !

Je crois bien que ce casanova s’est donné pour mission de me faire oublier les abdos bronzés de mon amant estival. Fiez-vous à moi, il sort l’artillerie lourde ! Il faut dire que ses fossettes ont réussi à conquérir plus d’une femme.

Je pensais justement me libérer l’esprit avec un homme d’expérience. Seul petit problème : pour la première fois de son existence, Christian veut du sérieux !

Avec les spectacles de Noël des enfants, le maudit lutin farceur et l’apparition tant attendue de mes parents à La Poule aux œufs d’or, avoir une vie sentimentale semble presque impossible ! Heureusement, le vin blanc, Béa et Mel sont toujours fidèles au poste. Je devrais passer à travers ce temps des fêtes riche en émotions.

Cet hiver, il n’y a pas que la neige qui me donnera de grands frissons !

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Merci à Christine, Communications Julie Lamoureux et les Éditions de Mortagne pour votre confiance
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Si j'avais bien aimé le premier tome, ici, le tome deux, je l'adore. Geneviève Cloutier offre une suite remplie d'humour, de finesse et d'avant tout, de l'humanité. Une chose rare mais de précieux. Caroline est en deuil, son idylle avec son beau et jeune voisin est terminé, triste et très secoué par la révélation de Christian, elle tente tout de même de se concentre à cent pour cent à son rôle de mère. Mais avec du recul, la jeune femme n'est pas contre un amant d'expérience pour plusieurs nuits, sauf que cet amant en question souhaite du sérieux. Armée de vin blanc et de deux superbes amies, Caroline essaye de traversée les fêtes et les imprévues avec force. Je ne savais pas que c'était possible, mais l'auteure à réussi à me faire aimer la chick-lit, un genre qui, à la basse, ne m'interpelle pas du tout. Les aventures de Caroline m'avaient manqué et savoir qu'elle les poursuit de nouveau avec beaucoup plus de sensualité et de moments purs, j'ai accroché d'un coup. Et malgré le fait que j'ai pas du tout aimé Christian dans le tout premier, je l'ai adoré dans celui-là. La vie de Caroline n'est pas simple, or, malgré ce détail, elle prouve qu'avec des surprises la vie devient soudainement magique.Je ressors de cette histoire de bonne humeur et le sourire aux lèvres.
Reste plus qu'à attendre en hiver pour le roman qui clôture tout.

Une suite avec beaucoup plus d'instants loufoques et touchants
J'ai complètement adoré !

4.5/5

Extraits :
Il place une main au mur, au-dessus de ma tête, et je me retrouve donc coincée entre lui, les ballons de basket et la porte fermée. Si je baisse les yeux, que je parle très rapidement et que je prends mon air de directrice adjointe hyper professionnelle, je peux encore y arriver.

- Ben oui, c'est le rêve de toutes les femmes de se retrouver dans un local qui sent la sueur avec un homme qui se prend pour la huitième merveille du monde, répliqué-je avec le plus d'aplomb possible. Ah ! et puis arrête de sourire comme ça, je suis en train de t'insulter ! Je suis seulement là pour te dire que, pour samedi, ce n'est pas une bonne idée, et j'ai plein d'excellentes raisons.


- Allô, ma chouette ! Est-ce que t'aimes ce qu'elles ont fait ? La maquilleuse appelle ça un monkey eyes.

Seigneur, ma mère a l'air d'une cougar dans une boîte de nuit.

- Euh, maman, c'est plutôt un smoky eyes. C'est certainement différent. Toi, est-ce que trouves ça beau ? lui demandé-je avec un ton qui laisse place à l'interprétation.

- Ben, c'est peut-être un brin excessif pour occasion, admet-elle en se regardant dans le miroir de l'entrée, manifestement pas très convaincue de son nouveau look.


- Tu sais quoi, maman, je pense qu'on pourrait juste l'estomper. Je ne suis pas une experte, mais je crois que, si ont en enlevait une couche, tu te reconnaîtrais un peu plus.




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Sabrina

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