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jeudi 11 août 2016

Je suis là

Nom du livre:Je suis là
Nom de la collection:-----
Auteure:Clélie Avit
Éditions:JCLattès
Pages:250
Date de sortie:1 juillet 2015
Prix: 22,95 $(en papier) 18,99 $(électronique)
Âges:14 ans et +

Synopsie

Suite à un accident de montagne, Elsa est plongée dans le coma. Tandis que ses chances de se réveiller s'amenuisent, un jeune homme du nom de Thibault pénètre par erreur dans sa chambre. Traumatisé par le sort de son frère, qui a renversé deux adolescentes en voiture, il se confie à Elsa et noue une relation avec elle malgré son mutisme. Premier roman. Prix Nouveau Talent 2015.

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À la suite d'un accident, Elsa est plongée dans le coma. La perte d'espoir de ses proches et la résignation des médecins, un jeune homme, Thibault, pourrait avoir un énorme bouleversement


Elsa, trente ans, est dans le coma depuis cinq mois, à la suite d'un accident de montagne. Elle entend tout mais elle ne peut pas rien faire.
Thibault, un homme de trente-autres ans, se promène dans l'hôpital, car il ne veut pas voir son frère, à la suite d'un accident que ce dernier à commis. Il tombe alors dans la chambre d'Elsa, et la plus belle des histoires d'amour commencera...
C'est magnifique, peut-être irréel, mais magnifique. Je suis tombé sur le charme de Thibault avec Elsa, j'ai gagné de l'espoir avec Thibault, j'ai pleuré avec les proches, vraiment, j'ai vécu des petites émotions importantes avec ce livre qui est petit mais tellement addictif et poignant. Comme vous l'avez remarqué, j'ai pleuré, telle la fille sensible que je suis, 
mais voilà, qui n'a jamais pleuré dans un roman?
C'est ça, je ne suis pas la seule!
Un coup de coeur, sans aucune hésitation!

La note:5/5

Extraits:

-Ma belle, tu as trente ans aujourd’hui, je murmure en inscrivant le nouveau nombre avant de raccrocher le calepin.


Je la regarde encore. Il y a quelque chose qui me dérange et, au bout d’un moment, je comprends. À force d’être reliée à tous ces trucs, ça l’enlaidit. Si je débranchais tout, elle ressemblerait presque à une fleur de jasmin, avec l’odeur qui persiste dans la chambre. Il y a une polémique en ce moment sur le « on débranche », « on débranche pas ». Jusqu’à maintenant, j’avais pas d’avis. Là, je voudrais tout débrancher juste pour la rendre naturelle


Je suis un cocon vide. Non, j’habite dans un cocon vide.


Ce livre est un service de presse:

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