Nom du livre:Captive in the dark
Nom de la collection:DARK
Auteure:CJ Robert
Éditions:Pygmalion
Pages:297
Date de sortie:17 novembre 2015
Prix: 21,95 $(en papier) 11,99 $(électronique)
Âges:16 ans et +
Synopsie
La vengeance. La vengeance est le but ultime de Caleb. Il la prépare depuis douze ans. Pour réussir, son "arme" doit être vraiment spéciale. Elle sera un cadeau inestimable dont tout le monde parlera.
La fille qu'il surveille de l'autre côté de cette rue passante est parfaite. Elle est différente de ses proie habituelles. Elle n'est pas consentante, elle n'est pas vendue par son père, elle ne lui a pas été envoyée... Elle sera sa conquête.
Dans ce huis-clos étouffant, le bonheur est-il encore possible?
La fille qu'il surveille de l'autre côté de cette rue passante est parfaite. Elle est différente de ses proie habituelles. Elle n'est pas consentante, elle n'est pas vendue par son père, elle ne lui a pas été envoyée... Elle sera sa conquête.
Dans ce huis-clos étouffant, le bonheur est-il encore possible?
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Olivia alias Livvie est une jolie jeune femme de dix-huit ans qui a une vie tout à fait normale, elle est en terminale, porte des vêtements convenables et elle est vierge. Sauf a un détail près, elle est surveillée par un dresseur d'esclave sexuelle. Elle ne le voit pas jusqu'à un bon matin où elle rate son bus et qu'un inconnu louche décide de l'a suivre...
Caleb est un homme d'une trentaine d'années, à ce que j'ai pu comprendre dans ma lecture et son but est de se venger d'un homme. Alors Livvie deviendra sa proie, sa conquête, son défi...
Il la voit à tous les matins, se changer au lycée pour devenir plus provocante et remarqué qu'elle rate souvent son bus. Il sera son héros, son prince venu en cheval blanc pour l'a sauver du méchant de l'histoire. Mais elle ne se doute pas une seconde où l'homme qu'elle voit devant elle n'est nulle autre que son pire cauchemar...
On peut qualifier ce roman de romance mais je préfère le thème drak erotic. Au début, j'ai eu une certaine crainte pour ce livre car c'était la première fois que je lisais une histoire de ce style mais après quelques pages, je me suis laissé aller et je n'étais pas déçue.
C'est des personnages poignants, au langage cru et aux différents caractères. Olivia attrape au fil des pages " Le syndrome de Stockholm '' et je n'arrive pas à l'a comprendre! Caleb est tout sauf gentil, il est narcissique, égoïste, chiant et je pourrais en dire encore pensant une quinzaine de minutes. Les scènes sont crus, non censurées et il y a aucune pitié.
Ce n'est pas un roman que je conseille à tout le monde car il ne peut pas se retrouver dans les mains d'une personne qui adore les romans à l'eau de rose, parce que c'est livré et noir en or en entier!
Une lecture riche en émotions que je ne regrette pas du tout
La note:4.5/5
Extraits:
-D'accord.Je vais le faire.Mais vous devez promettre de garder vos mains sur le lit.Vous promettez?
Incapable de réprimer plus longtemps son sourire,il acquiesça.Elle ne lui avait même pas demandé comment il voulait être touché.
Son visage était empourpré,mais sa voix presque rassurée.Une nouvelle fois,il s'émerveilla des différentes facettes de cette fille.Timide et pudique un instant,féline le moment d'après.
-Fermez les yeux.Je crois que je n'y arriverais pas sans ça.
Cela le fit rire,surtout quand elle rougit,mais il obtempéra à contrecoeur.
La fierté prit le pas sur la peur et je ne pus m'empêcher de répliquer à son sarcasme.
-C'est quand même assez drôle de vous entendre,vous,me reprocher mon arrogance,dis-je en faisant mine de refermer mes jambes.
Il faillit éclater de rire.
-Touché,mais ce n'est pas moi qui suis couché par terre les jambes écartés.
J'éclatais en sanglots de colère et de frustration-aveu de ma faiblesse.
-Je vous déteste.
-Tu ne me déteste pas.
C'étais une affirmation,comme s'il me connaissait.S'agenouillant entre mes jambes ouvertes,il se pencha au-dessus de moi et posa ses deux mains sur la moquette.Je détournais la tête.Il m'embrassa,d'abord derrière l'oreille,puis il descendit dans mon cou.
-Mais tu voudrais me détester.
-Arrêtez,murmurai-je.
-Pourquoi?répondit-il sur le même ton.Ma chemise te tient-elle soudainement trop chaud?
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