Mes critiques

vendredi 16 octobre 2015

Anita


Nom du livre:Anita
Nom de la collection:Cobayes
auteure:Marilou Adisson
Édition:édition de mortagne
Pages:328
Date de sortie:8 octobre 2014
Prix:19,95$(en papier)14,99$(électronique)
Âges:13 ans et plus


SYNOPSIE(résumé)
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ll ne se connaissaient pas…
Ils ont tous répondu à la même annonce…
Une compagnie pharmaceutique.
Des cobayes.
Des effets secondaires insoupçonnés.
Poids à perdre : huit foutues livres.
Méthodes utilisées pour y parvenir : faire de l’exercice de façon saine ? Manger santé ? Non…
Suer à grosses gouttes avec un sac poubelle sur le dos, ne rien avaler de la journée et, surtout, vomir. Ç’a toujours été la solution la plus efficace. Mais mon chum Manu commençait à en avoir assez de mon petit manège. Et moi aussi, d’ailleurs.
Il y a quelques semaines, j’ai trouvé un moyen de ne plus m’enfoncer deux doigts dans la gorge dès que je bouffe la moindre calorie. Une étude clinique qui annonçait plusieurs effets secondaires possibles. Dont un, parfait pour moi : perte de poids. J’ai sauté sur le téléphone et, depuis ce temps, je reçois des injections qui doivent soi-disant me guérir de mon anxiété.
Je suis moins stressée, c’est vrai. Toutefois, mon esprit commence à s’embrouiller. J’ai parfois des trous de mémoire. Faut que j’en parle au doc. Et mon appétit change. Je mangerais bien un steak saignant, là, maintenant!
Mais je me moque un peu de tout ça, au fond, puisque je maigris à vue d’œil…
Découvrez l’univers de COBAYES à travers la plume de sept auteurs différents. L’horreur et le suspense vous attendent dans les sept romans de cette série, à lire dans l’ordre… ou dans le désordre !
mon Résumé:Alors avant de lire ce livre:Faut que vous ayiez une bonne âme,pas sensible du tout,que vous aimez l'horreur et ne pas lire avant ou après avoir mangez
si sur ses avertissement tout vas bien alors vous pouvez le lire

Alors dans ce livre nous rencontrons anita wes,un jeune femme de 23 ans qui est anorexique.Mais elle à un copain,mais il n'a plus la force de la voir souffrir comme cela alors lui donne un ultimatum ou un choix:tu change ou sinon je te quitte.
Anita à un choix très difficile à faire.c'est là que nos découvrons la compagnie pharmaceutique,et surtout l'effet secondaire qui attire Anita comme un amant:perte de poids...
Pour cette jeune femme c'est un miracle,cela l'aideras à gardez manu auprès d'elle et margrir sans se faire vomir!
Mais au file du livre Anita vas changez...même n'en devenir cannibal.
Ma Critique:Alors,c'est...assez spécial,différent de ce que je lis aussi même!
C'est assez maccabre et sanglant!
J'ai lue deux livres de marilou addison sur les ados et retrouvez addison dans un livre comme cela fait une grande différence.
Mais pourtant j'ai adorez!!
Anita est très différente de les autres personnages:ont l'a déteste dès la première page.
Elle insulte sa mère pour cause de sa grosseur comme sa soeur et son beau-frère et elle a un copain qui l'adore mais elle l'insulte quelque fois lui aussi.Mais malgré tout,elle l'adore!
Mais pourtant,plus que le livre avance,plus je trouve qu'elle fait pitié.Elle change à vue d'oeil,elle est anxieuse et elle a vécue un mauvaise expérience avec son père.
Ont rencontre dans ce livre les autres cobayes que nous pouvons retrouvez dans les autres livres plus tard.
Les détails sont assez présent et la plume de addison est fantastique émoticône smile
Tout cela pour dire que c'est un livre à conseillez un soir d'halloween ou pendant un journée magnifique!

Mon Opinion:J'aurais voulue que Anita qu'elle écoute son copain et consulte un psychologue,mais le contraire est arrivez
Les plumes de ces auteurs et auteures est magnifique et chaque écriture est différente...c'est pour ça que cette collection est tout simplement merveilleuse!

ICI vos pouvez retrouvez un extrait:
À demi rassurée, je m’approche des arbustes et, lentement, je les écarte pour voir si quelque chose est encore là, caché dans l’ombre. Rien. Qu’une masse, grosse comme ma main, immobile sur le sol. J’enjambe le buisson et me penche vers le petit tas recroquevillé sur lui-même, constatant par le fait même qu’il s’agit d’un animal mort. Un chat. Pas un vieux matou miteux. Plutôt un bébé.
Durant un court moment, je songe qu’il devait être mignon, quand il était encore plein de vie. J’aurais presque le goût de le caresser pour l’apaiser, bien que je sache très bien qu’il ne ressentira pas mon empathie pour lui. J’ai déjà le bras dans les airs, la main prête à effleurer sa fourrure blanc et noir, quand je me ressaisis. J’incline la tête, abaisse mon bras et soupire,
avant de remarquer une tache rouge, là, juste sous le chaton. Une tache qui s’agrandit de plus en plus. Qui menace même de salir mes chaussures, déjà passablement crottées. En plissant les yeux, je détecte aussi que le pelage de l’animal a été endommagé, à la hauteur du cou, comme si un prédateur avait tenté de le mordre, après sa mort. Ouais, c’est sûrement la sale bête qui s’acharnait sur lui, avant que je ne lance ma roche… Elle tentait de le bouffer, comme un vulgaire morceau de viande. Rouge. Saignant…
Vas-y…
Je ferme les yeux pour tenter de calmer les électrochocs qui viennent me brûler le bout des doigts. Voyons, qu’est-ce qui me prend ?! Je me redresse brusquement, pour ne pas être tentée, et
tourne les talons.
Allez, qu’est-ce que tu attends ? Tu n’as qu’à tendre la main.
Ne pas y penser. Ne pas y penser. Ne pas… Cette chair si rose, ce sang si rouge, cette odeur…
NON ! Je suis en train de devenir complètement folle ou quoi ? Mes jambes se mettent à courir dans les rues menant jusqu’à chez moi.
Mais non, reviens ! Ne pars pas comme ça. Tu étais à deux doigts de…
Enfin, lorsque j’aperçois mon immeuble, j’y grimpe sans m’arrêter. Le souffle court, je bûche sur la porte, pour que Manu vienne m’ouvrir. Pas le temps de sortir mes clefs. Je ne sais d’ailleurs même pas où elles se trouvent.
Mais je m’en fiche ! Je bouscule mon chum, qui apparaît dans l’embrasure, la mine fripée, le regard furieux et anxieux. Je disparais dans la salle de bain, fais couler l’eau de la douche et m’y engouffre. Ce n’est qu’une fois sous l’eau que je me débarrasse enfin de mes vêtements souillés. Je les jette sur le carrelage et m’accroupis dans le fond de la baignoire, tremblante.
Tandis que je sanglote, Manu se décide à ouvrir la porte et à venir me rejoindre. Sans arrêter le jet, il s’assoit avec moi dans la baignoire et laisse l’eau couler sur nos corps.
— Chuuuuuut, chuuuuuut, murmure-t-il, sans rien me demander.
Et, de toute manière, comment pourrais-je lui avouer qu’il y a quelques instants seulement j’ai eu ce goût si fort et si soutenu pour de la chair? Que même ce chat mort me semblait un régal.
Tout simplement. Non, je ne peux pas le lui dire. Ni lui parler de la voix de mon père, qui me pourchasse, encore et toujours, de ses accents déments….

ICI vous pouvez y retrouves la bande annonce:https://www.google.ca/url…

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