Wind Breaker - 1

 

Nom du livre:Wind Breaker - 1

Nom de la collection:Wind Breaker

Mangaka:Satoru Nii

Éditions:Pika

Pages:192

Date de sortie:13 avril 2023

Prix:12,95 $(en papier)7,99$(électronique)

Âges:13 ans +

Synopsis

Ici, les Wind Breaker font la loi !

Haruka Sakura est le genre de lycéen qui fait passer la baston avant les révisions. Fraîchement débarqué en ville, c’est donc le sourire aux lèvres qu’il compte pousser les portes du lycée Fûrin, l’établissement scolaire au pire taux de délinquance du pays... Les intentions de Haruka sont claires : se mesurer aux meilleurs bagarreurs de ce bahut et devenir le meilleur de tous ! Mais entre-temps, il se retrouve mêlé à une altercation avec une bande de brutes dans un des quartiers de la ville, avant d’être sauvé in extremis par des élèves de son lycée. Haruka réalise alors à quel genre de phénomènes il risque d’avoir affaire...

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Avec sa vibe Tokyo Revengers et de garçon de la case, il ne m'en fallait pas plus pour craquer pour cet univers de gang et de coup. Haruka Sakura n'a qu'un seul but : intégrer le lycée Fûrin, où le taux de déliquance et plus élevée que la moyenne. Il veut devenir le meilleur bagarreur et la plus grosse racaille de l'endroit, et pour ça, l'étudiant est prêt à affronter les plus forts d'entre eux. Mais lorsqu'il se retrouve mêlé à une bataille dans le quartier, il découvre rapidement la puissance et la règle d'or de cet endroit phénoménal et plutôt contraire à sa manière de penser. Les illustrations, l'univers, la trame, Wind Breaker est une pépite dans son genre, offrant des héros ni gentils, ni méchant, seulement jeune et imprévisible, mais surtout, dans leurs idéaux et leurs rêves. On s'attend pas à mieux venant de groupes tous différent des uns et des autres. C'est à la fois du déjà-vu et pourtant, le mangaka rajoute une couche d'originalité et d'humour confort et sympa dans le genre.

Un protagoniste qui ne joue pas les héros, mais une racaille qui adore et admire la violence.

Le début d'un monde addictif et très nouveau.

Coup de coeur !

5/5

Extraits :

Ce que pensent les autres, je m'en tape... mais moi, je veux pouvoir croire que je vaux quelque chose. Quand je bousille la gueule d'un type, je peux me dire que je suis au-dessus de lui. Que je vaux mieux que lui. Et l'idée, c'est de m'asseoir au sommet afin que ça me procure une sensation de force encore plus grande.

Je pense pas que tu sois pathétique.

Sabrina

La Ballade de L'impossible

 

Nom du livre:La Ballade de L'impossible

Nom de la collection:...

Auteur:Haruki Murakami

Éditions:De Mortagne

Pages:456

Date de sortie:3 octobre 2011

Prix:16,95 $(en papier)9,99$(électronique)

Âges:16 ans +

Synopsis

Au cours d'un voyage en avion, le narrateur entend une chanson des Beatles, Norwegian Wood, qui ressuscite brusquement en lui le souvenir d'un amour vieux de 18 ans. Quand il était lycéen, Kizuki, son meilleur ami, s'est suicidé. Kizuki avait une amie d'enfance, Naoko, et tous deux étaient amoureux. Le narrateur sortait alors souvent avec eux, comme s'ils avaient besoin de sa présence. Depuis, pour ce dernier, la mort fait partie de la vie. Elle est partout dans l'air qu'il respire. Un an après ce suicide, le narrateur rencontre Naoko et ils commencent à se voir. Mais Noako est restée insaisissable, incertaine et angoissée, et une nuit, elle finit pas disparaître. Entre-temps, le narrateur rencontrera Midori, une jeune fille franche et plein d'esprit. Autour d'elle plane également les ombres de la mort.

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J'ai une relation amour/haine avec la plume d'Haruki Murakami, et pourtant, forcé de l'admettre : La ballade de l'impossible est un récit à la fois dérangeant et beau dans toute sa laideur. Lorsqu'une chanson parvient à atteindre Watanabe, dans cet avion qui l'amène loin ailleurs, des souvenirs doux/amers affluent et le ramènent dans sa jeune vingtaine. Une époque où la belle Midori surgit dans sa vie, que la jeune Naoko brisé et sublime, revient soudainement, alors que le deuil de son petit ami et meilleur ami de ce dernier est encore frais et à travers, il revit les fêtes, le sexe et de ses questions qui restent sans réponse. Plongé directement dans les années 60, ce roman mène le lecteur dans les pensées et les liens compliqués de cet homme, qui semble être encore un petit garçon parfois. C'est difficile de mettre des mots sur cette lecture, alors que je ressens tout un tas d'émotions à la pelle mèle. De l'empathie pour ces filles détruites, de la colère et même du dégoût pour cet étudiant qui apprécie les femmes abîmées et même de l'affection pour cet univers qui démontre l'aspect horrible et broyer de l'être humain dans le reflet du suicide, de l'infidélité, le manque de communication et la dysfonctionnalité.

Un excellent récit qui me laisse perplexe et sans voix.

Une histoire sans réelle beauté, centralisé sur la réalité.

J'ai complètement adoré !

4.5/5

Extraits :

Les gens qui sont morts sont définitivement morts, mais nous, nous devons continuer à vivre.

- Tu es vachement mignonne, tu sais, Midori, corrigeai-je.

- Vachement, ça veut dire quoi ?

- Que tu es mignonne au point de voir s'écrouler les montagnes, et la mer s'assécher.

Midori releva la tête et me regarda :

- Tu as vraiment une façon unique de t'exprimer.

- Cela m'apaise de te l'entendre dire, lui dis-je en riant.

BONUS

Sabrina